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Crise économique en Afrique du Nord : politiques économiques de relance et incertitudes économiques : Cas de la Tunisie
Introduction
Les pays d’Afrique du Nord, notamment la Tunisie et l’Egypte ont succombé suite aux événements du « printemps arabe » à une crise économique conjoncturelle mais chronique. Pour le cas tunisien qui nous intéresse, si le gouvernement tunisien ne prenne pas les dispositions et les mesures nécessaires afin de cerner les causes et les effets de cette crise, cette dernière pourrait durer. Lesdites mesures s’apparentent à des politiques économiques structurelles ou spécifiques. Le gouvernement tunisien aura ainsi à traiter la problématique suivante : Quelles politiques économiques à entreprendre au niveau de l’économie tunisienne afin de la relancer sur la voie de la croissance et du développement économiques compte tenu des incertitudes domestiques et internationales ?
Politique de libéralisation en vue d’augmenter les investissements directs étrangers et assurer l’équilibre externe : cas de la Tunisie
Compte-tenu des propriétés économiques des pays du sud de la méditerranée et de leur emplacement géo-économique, ces derniers présentent des caractéristiques propres au niveau de leurs performances et leur attractivité des Investissement directs étrangers. De part leur similitudes et de leur différences au niveau de leur croissance économique, leur degré d’ouverture, leur endettement, leur régime de change, la structure de leur commerce extérieur, et leur niveau d’interdépendance économique intra-groupe et extra-groupe, il est notoire d’essayer d’évaluer les réalisations et l’attractivité de ces pays aux investissements directs étrangers et d’essayer d’analyser les déterminants propres éventuels de cette attractivité et notamment pour le cas de la Tunisie.
Le dilemme stratégique en matière d’attractivité aux IDE par l’économie tunisienne
La stratégie de développement des pays en développement s’est caractérisée au cours des années 1960 et 1980 par une déconnexion par rapport à l’économie mondiale et essentiellement par une politique d’industrialisation planifiée et autonome axée sur la demande du marché local. La priorité accordée aujourd’hui à l’attractivité montre le changement de politique industrielle vers l’adhésion au libéralisme économique et à l’ouverture progressive sur l’économie mondiale. Les pays du Maghreb ne font pas partie des « pays cœur » (Core countries) qui ont été définis par la réception de leur économie de plus d’un milliards de dollars d’IDE par an. La difficulté est non seulement de figurer sur cette liste restreinte, mais également d’y rester.
Politique de privatisation optimale pour les PSEM : Analyse comparative avec les pays en transition de l’ Europe de l’Est , Cas de la Tunisie
De part les caractéristiques structurelles des économies des PSEM et leur degré relatif de libéralisation économique, certains pays des PSEM ont engagé des programmes ambitieux de privatisation depuis plus d’une décennie, dans un objectif de :
- Restructurer les économies nationales par la promotion d’un environnement économique national plus concurrentiel ;
- Attirer les investissements directs étrangers, forme privilégiée alternative d’entrée de capitaux à moyen et long terme, et jugés jusqu’à maintenant insuffisants pour faire réussir la politique de libéralisation économique et d’insertion dans l’économie globalisée.