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Les fables que nous vivons, les pièces que nous jouons, ne font jaillir que le meilleur de nous-mêmes, nous font jouer nos rôles à la perfection : une pièce qui s'appelle la vie. Rôle simple ou de composition n'ont de sens que dans la sincérité et la pureté de nos âmes, des paroles que nous disons, des gestes que nous faisons pour séduire l'autre ou l'induire en erreur. Ce monde féroce que nous imaginons, est la trappe que nous creusons pour nous-mêmes. 

La vie,  Pour vivre ou mourir, rien ne sert de mourir pour vivre, ou vivre pour mourir; un couple de concepts antagonistes qui s'attirent et se refoulent selon la volonté divine. La vie !!! Un mot qui n'a de signification ni pour les morts, ni pour les vivants, un mot fade et amer, parfois heureux et rayonnant. Un mot avec une infinité de sens. Un sens pour chaque rôle, un sens pour chaque entre-acte, un sens pour chaque décor, pour chaque micro, pour chaque spectateur, et pour chaque représentation. 

La vie, une scène immense et infinie, sur des milliers de kilomètres carrés, des milliards de mètres cubes exploitables, des milliards d'acteurs, une infinité de décors, un spectacle permanent, une tragédie alarmante, une comédie ininterrompue, avec des spectateurs acteurs qui entrent et sortent sans préavis...

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