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Les fleuves rassasiés
longent l’imagination des Hommes
bercent les eaux
emportent les berceaux

Malgré la grandeur de la nature
Les sots lui font barrage
comme une bande de sauvages
qui se prennent pour des dieux

Ils caressent la mort à fleur de peau
éclaboussent des vies
nourrissent les rivières de rouge
et ce sans prononcer un seul mot !

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